La garde côtière veille sur la mer

Garde côtière

Actualités

  • 01.02.24

    Le premier workshop et réunion du secretariat ECGFF sous présidence portugaise a eu lieu à Madère.

  • 30.01.24

    Expert technique en contrôle de la pollution marine | DG Environnement | Service de l'environnement marin

  • 29.09.23

    Knokke a mis le point final de la présidence belge du Forum des Missions des Gardes côtières européennes (European Coast Guard Functions Forum - ECGFF). L’ECGFF est une organisation qui rassemble les Gardes côtières des différents pays européens, qui collaborent en vue de garantir la sécurité en mer. En ce jour de clôture, la Ministre flamande de la Pêche Hilde Crevits a souligné l’importance de cette collaboration entre Gardes côtières et avec d’autres partenaires, de la sensibilisation des pêcheurs et du choix de l’innovation.

    Pendant deux jours à Knokke, les participants ont discuté de la sécurité et de l’ordre public en mer, et de la manière dont sa sécurité peut être améliorée grâce à la coopération transfrontalière. Les sujets ont été préparés au cours de l’année par plusieurs groupes de travail organisés par la Garde côtière belge, qui présidait le Forum. Par exemple, des ateliers ont été organisés avec Frontex, l’agence européenne des frontières et des gardes côtières, au sujet notamment de l’immigration illégale par voie maritime. Avec l'EMSA, l'Agence européenne pour la sécurité maritime, l'accent a été mis sur l'impact du Green Deal européen sur la sécurité maritime et l'écologisation de la flotte. Un atelier de l'EFCA (l'Agence européenne de contrôle des pêches) s'est penché sur le contrôle des pêches et plus particulièrement sur les nouvelles méthodes de collecte de preuves, et un groupe de travail sur la cybersécurité a cherché à identifier les défis liés à la sécurité numérique.

    Nathalie  Balcaen – coprésidente de la Garde côtière belge  “Les 12 derniers mois ont été intenses. Nous avons très bien travaillé avec nos collègues européens, nous avons échangé beaucoup de savoir-faire et nous nous sommes inspirés les uns les autres au cours des nombreux ateliers. Le plus important, c'est que cette aventure ne s'arrête pas ici, à Knokke. Plus de coopération et plus d'événements comme celui-ci ne peuvent que renforcer le poids et l'efficacité de nos gardes côtières, ce à quoi nous continuerons à travailler même après cette présidence belge”.

    Piet Pieters – coprésident de la Garde côtière belge “On ne s'en rend pas toujours compte, mais les risques de sécurité en mer sont nombreux : accidents impliquant des cargos, pollution de l'environnement, immigration clandestine... Chaque jour, de nombreux services s'efforcent de gérer ces risques et de recourir à une gestion de crise efficace pour minimiser les conséquences d'un incident. Face à des risques aussi complexes, une approche multidisciplinaire est absolument nécessaire, et le partage des connaissances entre les services est crucial. Les risques et les urgences voguent parfois littéralement d’un pays à l’autre ; la coopération internationale est donc une nécessité. La Belgique, en tant que présidente de l'ECGFF, a pris plusieurs initiatives au cours de l'année écoulée pour la renforcer”.

    Cette importance de la coopération autour de la sécurité et de l'ordre public en mer, soulignée par la présidence belge, a été illustré par deux incidents récents dans les parcs éoliens au large de la côte de la mer du Nord. Lorsqu'un bateau transportant des migrants s'est retrouvé en difficulté près d'un parc éolien en 2019, nos forces de l'ordre n'ont pu localiser le sloop qu'assez tardivement. Depuis lors, un projet pilote a été introduit, visant à déployer un drone spécial de l'EMSA en mer en coopération avec nos pays voisins. Intensifier les moyens de surveiller les eaux devrait permettre de détecter plus rapidement des incidents de ce type.

    En février 2022, le Plan général d'urgence et d'intervention (PGUI) pour la mer du Nord a été déclaré lors de la tempête Eunice, lorsque deux grands navires sont partis à la dérive à proximité de parcs éoliens. Le pétrolier Maersk Nimbus - avec 30 000 tonnes de cargaison inflammable à bord - s'est arrêté à 50 mètres d'une éolienne. Une catastrophe majeure a ainsi été évitée de justesse. Wiljan Meijvogel, de la direction générale néerlandaise des travaux publics et de la gestion de l'eau, a parlé au Forum du remorqueur maritime d'urgence que les Pays-Bas déploient lors de telles situations dangereuses. Afin d’augmenter sa rapidité de réaction, la Garde côtière belge a récemment inscrit à l'ordre du jour politique l'achat de son propre remorqueur de mer d'urgence.

    La coopération transfrontalière se traduit aussi concrètement par des opérations maritimes polyvalentes (Multipurpose Maritime Operations - MMO), dans le cadre desquelles le contrôle de la pêche et d'autres missions des gardes côtières d’une même région sont coordonnées au niveau international. La France et la Belgique ont déjà déposé une demande en ce sens pour la zone de la mer du Nord, que les Pays-Bas pourraient rejoindre.

    La garde côtière est un partenaire important dans les opérations de sauvetage et, avec d'autres services dont le Département de l'Agriculture et de la Pêche, elle est également responsable du contrôle de la pêche en mer. De nouvelles techniques sont utilisées à cette fin : les moyens numériques sont de plus en plus utilisés. La coopération et le travail d'équipe sont importants dans ce domaine, tout comme la sensibilisation et le soutien aux pêcheurs, ainsi que l'aide à la compréhension de réglementations souvent complexes. Cette présidence a également prouvé que la coopération au niveau européen et avec des pays tels que le Royaume-Uni et la Norvège est également essentielle.

    La Ministre de la Pêche Hilde Crevits: “Plusieurs partenaires, dont la Garde côtière et les services de contrôle flamands, collaborent à l'inspection des navires de pêche en mer. En unissant nos forces et en travaillant en étroite collaboration transfrontalière, nous augmentons l’efficacité de nos inspections, avec des techniques innovantes, dans l'intérêt de l'avenir de la pêche. Ces contrôles sont nécessaires pour vérifier si les pêcheurs respectent les réglementations et parallèlement, nous assistons les pêcheurs pour les guider à travers des réglementations parfois compliquées. Nous investissons également beaucoup dans la recherche et l'innovation afin d'affiner la collecte des données en mer et d'aider les pêcheurs à faire des déclarations correctes. Enfin, en collaboration avec de nombreux partenaires, nous avons également pour mission de garantir la sécurité en mer 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.

    Dans le domaine de la sécurité maritime et de l'application de la loi, la Belgique a également manifesté son souhait de participer à un programme d'échange et de formation qui aura lieu du 1er février 2024 à 2025. Les participants pourront suivre une semaine de formation dans un service administratif ou opérationnel de la garde côtière d'un autre État membre.

    Aujourd’hui à Knokke, la Belgique a passé le flambeau de la présidence européenne au Portugal. Les Portugais João Aresta et Jorge Bolas ont reçu le drapeau européen des mains de Nathalie Balcaen et Piet Pieters. Notre pays participera aux groupes de travail organisés par la Garde côtière portugaise au cours des prochains mois.

  • 26.05.23

    En janvier 2023, le monde maritime a été secoué par une attaque de ransomware à grande échelle contre une société de classification de premier plan. Plus de 1000 navires ont été touchés. Cette attaque n'est malheureusement pas un incident isolé : ces dernières années, l'ensemble du secteur maritime, des ports aux sociétés de classification en passant par les navires de tourisme, a été la cible de cyberattaques à plusieurs reprises. C'est pourquoi, il y a quelques années, le groupe de travail sur la cybersécurité a été créé au sein du Forum européen des garde-côtes. Grâce, notamment, aux connaissances échangées par les États membres au sein du groupe de travail sur la cybersécurité, de nombreuses attaques peuvent être évitées chaque année. Ce groupe de travail, composé de 32 experts des différents États membres, s'est réuni du 22 au 24 mai 2023 à Bruxelles. 

  • 08.05.23

    Quelles sont les technologies utilisées et susceptibles d'être utilisées à l'avenir pour le contrôle et l'inspection de la pêche ? Quels sont les développements actuels et futurs en matière de contrôle de la pêche ? Comment la Belgique l’effectue-t-elle ? Que fait l'Agence européenne de contrôle de la pêche (European Fisheries Control Agency - EFCA) et comment les Gardes côtières partenaires des autres Etats Membres de l'Union européenne travaillent-ils ? Comment cette mission est-elle remplie dans la pratique ? 

  • 19.04.23

    Comment le Green Deal affecte-t-il le fonctionnement des gardes-côtes des différents partenaires européens ? Le Green Deal est le plan de la Commission européenne visant à rendre l'Union européenne climatiquement neutre d'ici 2050. Comment pouvons-nous rendre la sécurité et l'application de la loi dans les eaux européennes aussi vertes et durables que possible ? Quelles opportunités ce Green Deal crée-t-il pour les gardes-côtes ? Et quels défis cet engagement en faveur de la durabilité pose-t-il ? 

    Tels étaient les thèmes du deuxième workshop organisé sous la présidence belge de l'ECGFF, le European Coast Guard Functions Forum (Forum des gardes-côtes européens), au sein duquel les gardes-côtes de plusieurs pays européens travaillent et coopèrent ensemble.    

    Du lundi 17 au mercredi 19 avril, les délégations se sont réunies à Lisbonne, capitale du Portugal, où se trouve le siège de l'AESM. L'Agence européenne pour la sécurité maritime a été créée en 2002 pour rassembler et échanger l'expertise technique en matière de sécurité, d'application de la loi et de lutte contre la pollution dans les eaux européennes.  

    Dans son mot de bienvenue Nathalie Balcaen, présidente actuelle de l'ECGFGF, a souligné l'engagement des garde-côtes belges, qui surveillent l'une des plus courtes portions de côte en Europe, mais qui sont en partie responsables de l'une des voies maritimes les plus fréquentées au monde. 

    Lors d'une première session, des informations et de l'expertise ont été échangées principalement sur la nouvelle législation concernant le Green Deal, les défis et les opportunités pour le transport maritime, c'est-à-dire l'utilisation de sources d'énergie alternatives pour alimenter les navires, et une meilleure surveillance et un meilleur contrôle des gaz d'échappement.  

    Le sujet de la pollution marine a également été abordé, en particulier la prévention pour protéger l'environnement et le déploiement des ressources en cas de pollution. Comment la Garde côtière peut-elle répondre de manière adéquate à la perte de cargaison d'un navire ou à la fuite d'un réservoir de carburant ? Et surtout, comment éviter une pollution, petite ou grande ?   

    M. Carl Decaluwé, gouverneur de la province belge de Flandre occidentale, coordinateur des plans d'urgence en mer et président de l'organe de consultation des gardes-côtes belges, était l'un des orateurs les plus éminents de cette conférence. 

    La deuxième journée a été largement consacrée à EMTER 2.0, le rapport environnemental sur le transport maritime européen. L'atelier s'est penché sur les résultats de cette nouvelle étude réalisée par l'AESM et l'Agence européenne pour l'environnement (AEE), qui ne seront pas publiés avant l'année prochaine. L'étude fait suite à la première étude de 2021 et examine les effets considérables du transport maritime sur l'environnement. Elle examine, notamment, les effets du transport maritime sur le climat, la faune et la flore maritimes, et la santé des citoyens européens.   

    Le prochain workshop européen se déroulera à nouveau sur la côte belge. Il débutera le 2 mai par l'exercice BELCOASTEX, qui permettra de tester différents scénarios de sécurité dans un parc éolien en mer.  Du 2 au 4 mai, l'AECP, l'Agence européenne de contrôle des pêches, occupera les devants de la scène. Fin mai, les délégations se réuniront à Bruxelles pour discuter de la cybersécurité. En septembre, un événement de clôture à Knokke formulera les conclusions finales des workshops. Enfin, la présidence belge sera clôturée et transmise au Portugal. 

  • 03.03.23

    Dans le cadre de la présidence belge du European Coast Guard Functions Forum (ECGFF), Frontex et la Police de la Navigation, avec le soutien du secrétariat de la Garde Côtière, ont organisé un atelier du 28 février au 2 mars. Avec une centaine de participants de plusieurs pays européens, des présentations intéressantes, un débat entre experts et de nombreuses possibilités de réseautage et d'échange d'expertise, ce premier événement a été un succès. 

  • 23.09.22

    À l'issue de la 13e session plénière du Forum européen des garde-côtes (ECGFF), qui s'est tenue à Split du 5 au 7 septembre 2022, La Belgique a remplacé la Croatie comme État président. Notre président belge Piet Pieters et nothre président flamand Nathalie Balcaen et ont reçu le drapeau européen lors de la cérémonie et ont échangé des informations sur l'organisation de cet important événement.

    Ce forum est un outil unique et excellent qui nous permet d'échanger des informations, de partager les meilleures pratiques et les leçons apprises, de tirer les leçons d'exercices conjoints, de concevoir des solutions communes et de surpasser les obstacles, bref, de renforcer nos liens avec les organisations de garde-côtes des États membres européens. 

    La Garde côtière belge organise plusieurs activités au cours de l'année à venir :

    • Un ‘workshop’ en collaboration avec Frontex (l'agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes).
    • Un ‘workshop’ avec l'EMSA (Agence européenne de sécurité maritime)
    • Une réunion du groupe de travail sur la cybersécurité
    • L'exercice "COASTEX 23" en coopération avec l'EFCA (Agence européenne de contrôle des pêches)
    • Une conférence plénière en coopération avec la DG MARE (Direction générale des affaires maritimes et de la pêche)

     

  • 16.06.22

    Du 30 mai au 2 juin 2022, l’avion de surveillance aérienne belge a effectué une mission internationale en Bretagne en France. L’avion appartient et est exploité par l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique (IRSNB), et est fréquemment utilisé en Belgique dans le cadre de la garde côtière. Des missions internationales sont également à l’ordre du jour. L’objectif de cette mission était double : l’avion a participé à un essai international en mer pour la détection et le suivi de la pollution chimique et a contrôlé, à l’aide du capteur renifleur, les émissions atmosphériques des navires à la frontière de la zone de contrôle des émissions (ECA, acronyme de Emission Control Area) pour vérifier leur conformité avec les réglementations internationales en matière d’émissions définies dans l’Annexe VI de la convention MARPOL.

     https://odnature.naturalsciences.be/

  • 03.08.21

    Mardi 13 juillet, Vincent Van Quickenborne, ministre de la Mer du Nord, Annelies Verlinden, ministre de l'Intérieur et Kristof Audenaert, président du Conseil de la Zone de Secours 1, ont signé un accord de partenariat en matière de lutte contre la pollution marine. Cet accord renforce la collaboration entre les partenaires garde côtière le Service Milieu Marin du SPF Santé Publique, le Service de la Protection Civile et la Zone de Secours 1 (région Bruges-Ostende). Ces services sont en charge de la lutte contre la pollution en mer, dans les ports maritimes, les voies navigables intérieures et sur les plages.  L’accord vise un déploiement plus rapide et plus efficace des moyens de lutte grâce à la gestion en commun des équipements à partir d’une seule et même base d’opérations et de  la mise en œuvre d’un plan d'action uniforme.
     

    Il s’agit d’une coopération win-win pour les trois partenaires qui exercent des compétences et disposent de ressources complémentaires. Ainsi, le Service du Milieu Marin est chargé de lutter contre la pollution en mer. La Protection Civile se concentre sur la pollution dans les ports maritimes et les voies navigables intérieures alors que la Zone de Secours, aidée de la Protection Civile, se préoccupe de la pollution sur les plages.

    L'accord vise une coopération optimale sur le terrain en décloisonnant les activités de ces autorités. Il garantit un meilleur déploiement des équipements spécialisés et du personnel d'intervention, augmentant ainsi la capacité à faire face aux incidents de pollution sur l'eau.

    La partie belge de la mer du Nord ne couvre que 3 500 km² mais constitue l'une des zones marines les plus fréquentées et exploitées au monde. Environ 400 navires traversent ses eaux chaque jour. De nombreuses activités économiques y prennent place, comme les parcs éoliens, l'exploitation du sable et la pêche, augmentant ainsi les risques de pollution.

    Le dernier accident maritime majeur remonte à 2015 lorsque le navire Flinterstar a coulé. Mais ce n’est pas pour autant qu'il n'y a plus d'incidents. Chaque année, le Service du Milieu Marin reçoit près de 300 rapports d'incidents en mer, dont une centaine dans les eaux belges. En 2020, deux collisions entre navires ont eu lieu au large de nos côtes, heureusement sans conséquences graves. La plupart des incidents n'ont qu'un impact mineur sur l'environnement.

    Malgré un renforcement continu de la sécurité maritime, une catastrophe ne peut être exclue. Notre pays doit donc disposer de capacités, d'équipements et de personnels d'intervention formés en nombre suffisant et ce notamment, afin de répondre aux obligations internationales, comme celles déterminées par l'Organisation maritime internationale (OMI) et dans le cadre de l'Accord de Bonn.

    Depuis 2019, l'équipement antipollution est stocké dans un entrepôt du Service du Milieu Marin, situé à Zandvoorde. L’équipe du Milieu Marin, assistée de mécaniciens de la Zone de secours, veille à son entretien.  Cet équipement comprend plusieurs systèmes de récupération et de pompage des nappes de pétrole, ainsi que des réservoirs de stockage. Des produits dispersants et des systèmes de pulvérisation sont également disponibles en cas de traitement chimique de la pollution.  

    Ce matériel est mis à la disposition des différents services et des exercices réguliers permettent d’améliorer son déploiement. Huit exercices sont prévus en 2021. L’un visera la pollution dans les parcs éoliens ; un autre sera réalisé en coopération avec les Pays-Bas, afin de prévenir une éventuelle pollution transfrontalière.

    L'accord fournit non seulement un cadre pour une coopération plus étroite entre les trois partenaires, mais il prévoit également la définition d’une vision commune basée sur une même politique d'achat et un déploiement combiné des ressources disponibles. Ce texte de vision doit être remis aux ministres compétents avant le 1er février 2022.

    Vincent Van Quickenborne, vice-premier ministre et ministre de la mer du Nord : "La mer du Nord est notre plus grande réserve naturelle. Nous devons la protéger. Nous le faisons en luttant contre la pollution atmosphérique et en retirant les déchets de la mer. Mais un accident peut vite arriver, surtout dans cette zone parmi les plus fréquentées au monde. Nous devons pouvoir agir rapidement. Désormais, les services compétents ont uni leurs forces. Avec la base d’opérations  communes à Zandvoorde, la cellule opérationnelle et le plan d'action, ils sont prêts à intervenir si nécessaire. De cette façon, toute pollution causée par un incident pourra être traitée rapidement et efficacement."

    Annelies Verlinden, Ministre de l'Intérieur : "La lutte contre la pollution en mer, dans les ports et sur les plages est une responsabilité partagée de la Protection Civile, des pompiers et du Service du Milieu Marin du SPF Santé publique. Avec la signature de cet accord, nous nous engageons à déployer efficacement nos  ressources et notre  expertise. Ainsi, nous pouvons lutter ensemble contre la pollution dans et autour de la mer du Nord. Grâce à la bonne coopération entre la Zone de Secours et le département de la Protection Civile, les équipements du Service du Milieu Marin peuvent être mobilisés rapidement et efficacement en cas d'incidents environnementaux."